La saison 2005 pourrait se résumer à cette image, une course poursuite enragé entre Alonso et Raikkonen, qui furent réellement sur une autre planète comparativement au reste du peleton.
Alonso, qui s'était construit un matela (ultra douillé) d'une trentaine de points sur Kimi, n'avait plus qu'à géré. Situation confortable à premiére vue mais terriblement stressante sur la durée. De plus, l'Espagnol n'a pas manqué la moindre occasion de briller lorsque Kimi conaissait une déconvenue, si ce n'est au Canada où Alonso menait la coure et où il commit sa seule vraie erreur de l'année (une trés légére touchette contre le mur). Kimi, lui, n'a pu débuter sa lente remonté sur Fernando qu'à partir d'Imola, 1ère manche Européenne de l'année, et n'a, dès lors, jamais cessé de créér l' exploits . Ce fut le cas en Espagne et à Monaco (course en solitaire), en France et en Angleterre (partit du milieu de peleton, il finit sur le podium) ou encore mieux à Suzuka (partit 17éme, il dépassa Fisichella, alors 1er, dans le dernier tour et conserva intacte les chances de Mclaren au championnat constructeur). Il y eut aussi le GP de Turquie, que tout les pilotes découvraient, où il signa pole et victoire. Rajoutons à cela sa magnifique pole position à Monza, circuit de vitesse, plus chargé en essence que la totalité de ses adversaires, il parvint à signer le meilleur temps (mais dû partir 11éme par la faute d'une éniéme panne moteur). Si Alonso est bien le champion officiel 2005, Raikkonen en est alors le champion moral ...