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une page se tourne...
30/09/2006 01:44
Symbolique, ce grand prix d'Italie 2006 l'a été. Un monstrueux pilote, galvaniseur, précis, rigoureux et passionné a, quoi que les gens en disent, marqué l'histoire de la Formule 1. Michael Schumacher se retire de son terrain de jeu, de sa source de vie et d'amour. Un amour de la compétiton, du défis et du succès qui, comme toute les grandes conquêtes, a parfois été entaché de malheureuses et impopulaires actions/décisions. Mais l'heure n'est pas à la polémique et aux diffamations. Ce champions, aux innombrables titres mondiaux et à l'ego un poil trop émmergé, a construit une religion Schumacher sans propagande ni pedentrie mais par l'action et un amour du pilotage sans limite. Avant l'annonce officiel (en conference de presse d'aprés course) de la retraite de Schumacher, le communiqué Ferrari annonçant son duo de pilote de 2007 brisait enfin le doute avant même la cérémonie du podium. Kimi Raikkonen sera celui qui aura la, au combien, lourde tâche de succédé à M.Schumacher au sein de la Scuderia. Le septuple champion du monde ne lancera qu'un vague encouragement au Finlandais durant la conférence en déclarant être sûr de trouver en Kimi le potentiel néccéssaire à prendre sa succession et d'ajouter "je suis content que ce soit lui". En effet, le résultat du week end de Raikkonen ne pouvait que parler en sa faveur, étant le seul pilote du plateau à avoir soutenu le rythme de Michael durant la course (meilleur tour à la clée) et à lui avoir, en bonus, "piqué" la pole position pour 2 millième de seconde ! C'est à dire 12 centimètre d'avance sur la ligne de chronométrage ! Faut il ajouter que tout cela, le Finlandais le réalise au volant d'une monoplace, certe pas abomidable, mais dont le potentiel se rapproche davantage de la 8éme place de grille d'un certain Pedro De La Rosa, remplaçant de Montoya et nouveau coéquipier de Kimi Raikkonen. Oui, ce week end avait une allure de symbole. Le baron rouge tirait sa réverence sur un 90éme et inoubliable succés mais son successeur était là, juste derrière, déjà prêt à reprendre le flambeau et à honorer comme il se doit, le futur de Ferrari.
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